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split scènes en ville
quelques exemples de scènes en ville qui semblent d’étre « splitées »
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Slit scan
Le Slit-scan est un procédé photographique et cinématographique, dans lequel on intercale un masque mobile (où une fente a été découpée) entre la caméra (ou l’appareil photo) et le sujet à photographier.
http://www.flong.com/writings/lists/list_slit_scan.html
http://fr.wikipedia.org/wiki/Slit-scan
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Copy Shop (2001) de Virgil Widrich
L’histoire tragi-comique d’un homme victime de sa photocopieuse qui va se dupliquer jusqu’à mettre sa vie en péril…
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Fast film, 2003
Court métrage de Virgil WIDRICH
Ce film est un collage constitué de différents extraits de grands films, surtout américains. En commençant par une scéne romantique entre Humphrey Bogart et Lauren Bacall, il passe ensuite à travers tous les genres de films: western, film noir, film d’aventure, film fantastique… Les personnages, toujours de grandes stars hollywoodiennes, cèdent la place les uns aux autres au fur et à mesure que l’aventure progresse.
http://www.widrichfilm.com/fastfilm/
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Catherine Poncin
Catherine Poncin mène depuis 1986 une recherche photographique et plastique engagée sous le titre générique De l’image par l’image. Utilisant des photographies trouvées aux puces, dans la presse ou dans les fonds d’archives des musées, Catherine Poncin les rephotographie de façon méthodique : travail passant par le recadrage, un retirage à gros grain et la décontextualisation de l’image originelle.
Les images retenues par l’artiste ont pour point commun de renvoyer à la quotidienneté, aux scènes de la vie courante – un critère de banalité et d’anonymat conférant aux thèmes fétiches de cette œuvre une dimension universelle. Chaque cliché, s’il tend vers la totalité, incline cependant autant vers son propre anéantissement.[…]
Quoique neuves par l’apparence, les images de Catherine Poncin renvoient ainsi au plus ancien statut de l’image, celui de l’icône, qu’elles actualisent et restituent du même coup à son caractère univoque. L’icône, cette représentation qui incarne et contient, se présente ici de manière paradoxale : image réglée par le principe de l’insert et du grossissement pour véhiculer une sensation de lointain, d’évanescence, d’oubli en constitution. L’impression qui prévaut est celle d’une mise à distance, d’un écart suggéré plus qu’avoué entre le représenté et la représentation (l’effet du flou et du recadrage, notamment).
Extrait d’un texte de Paul Ardenne, dans le magasine Art press n°214, Juin 1996
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La photomosaïque
Dans le domaine de la photographie et de l’art numérique, on nomme photomosaïque une image — la plupart du temps une photo — reconstituée par la juxtaposition d’images plus petites de couleur moyenne adéquate. Vue à une distance normale, on reconnaît l’image de départ, mais en agrandissant, on reconnaît les centaines, voire les milliers de photos qui la composent.
Une photomosaïque est en fait, une image composée d’images.
Les photomosaïques sont produites grâce à des algorithmes exécutés par des ordinateur.
Ainsi, j’ai considéré la photomosaique comme une extension du split screen. En effet, la photomosaique engendre la création d’un grand écran (image) par la multiplication de petits écrans (images).
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William Kentridge « Stereoscope »
Le stéréoscope est un instrument qui permet de faire apparaître des images en trois dimensions en présentant aux yeux un point de vue légèrement différent de la même scène ; en essayant de concilier cette différence, l’œil est amené à voir en volume. Dans le film Stéréoscope, l’artiste utilise la technique inverse. Un écran divisé démembre la réalité tridimensionnelle en différentes réalités complémentaires mais désynchronisés